Des pommes pour mieux vieillir ?

Le dicton anglais « une pomme chaque matin éloigne le médecin » vient de trouver une nouvelle confirmation.

Une équipe américaine (Cell Metabolism 13, 627-638, 8 juin 2011), plus précisément dans l’Iowa, celle de Christopher Adams s’est intéressée de plus près à la peau des pommes et on trouvé qu’une consommation importante de peaux de pommes permettait de lutter efficacement (chez la souris) contre l’atrophie musculaire qui accompagne et aggrave tout processus de vieillissement.

Le responsable en est l’acide ursolique dont l’expression génétique varie à l’inverse des ARN liés à l’amyotrophie.

Les souris supplémentées ont eu une augmentation du volume et de la force musculaire. les chercheurs ont également observé une réduction de la masse grasse, une baisse du taux de cholestérol, du sucre et des triglycérides.

L’acide ursolique semble agir sur la voie de signalisation de l’insuline et de l’IGF 1 (Insulin Growth Factor) musculaires. Bien entendu ces résultats doivent être confirmés chez l’homme.

Il y a longtemps que l’on conseille la consommation de pommes à la fois pour les fibres et également pour l’apport (sous la peau) d’un nutriment particulier, la quercétine.

Cette vitamines, proche de la vitamines C est très utile, en cas d’inflammation chronique et  chez les allergiques.

Bien entendu pour consommer des pommes avec leur peau, il paraît tout à fait évident de devoir choisir des fruits sans traitements.