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Parkinson: la piste génétique et celle des pesticides

La maladie de Parkinson est est la conséquence d’une altération des cellules de notre cerveau qui sécrètent un neurotransmetteur: la dopamine. La maladie se manifeste par une certaine raideur du corps qui va s’aggraver progressivement, puis s’accompagner de tremblements de repos caractéristiques. S’il est incontestable qu’il existe une certaine prédisposition génétique, ce que le séquençage du génome confirme, des facteurs environnementaux peuvent être essentiels. On relève parmi eux des déficiences en antioxydants (comme les vitamine E, la coenzyme Q10 et le glutathion…) qui favorisent  un stress oxydatif important, mais la piste des pesticides est de plus en plus sérieuse; Cette piste est aujourd’hui confirmée par la MSA, l’INSERM et l’Institut Pierre et Marie Curie qui constatent que certaines populations comme les agriculteurs présentent un risque 2,5 fois plus élevé de développer la maladie. En plus du traitement médicamenteux accompagné de certaines mesures de supplémentations nutritionnelles en antioxydants, il nous semble important de prendre un maximum de précautions vis à vis de la consommation des pesticides par les fruits et légumes mais également dans l’eau que l’on se doit de filtrer.


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